Escher nous avait amené à entamer le cycle réalisme magique par un alphabet des objets impossibles. Il est temps de le conclure maintenant en rationalisant un peu ses images, totalement bidonnées en effet, désolé !
En fait, pour démystifier ses constructions, il suffit de les mettre en mouvement. Et oui, Escher ne résiste pas plus de quelques secondes à la troisième dimension. Mais évidemment tout cela ne lui enlève rien, au contraire : il aura poussé le travail en deux dimensions jusqu'à ses ultimes limites, jusqu'aux apparences les plus paradoxales de la troisième. Les vidéos qui suivent illustrent la chose de manière amusante.
En fait, pour démystifier ses constructions, il suffit de les mettre en mouvement. Et oui, Escher ne résiste pas plus de quelques secondes à la troisième dimension. Mais évidemment tout cela ne lui enlève rien, au contraire : il aura poussé le travail en deux dimensions jusqu'à ses ultimes limites, jusqu'aux apparences les plus paradoxales de la troisième. Les vidéos qui suivent illustrent la chose de manière amusante.