Blog perso pour se faire plaisir et communiquer avec les amis qui sont loin, et tous les autres : visites, impressions, découvertes...
Les humeurs quotidiennes ont été reléguées sur Facebook. J'ai dû désactiver les commentaires à cause des spams, désolé.


jeudi 31 janvier 2008

Voeux 2008, making of (2) : les images


Après le message concernant la musique des voeux 2008, parlons des images.
Elles sont toutes issues d'un paquet de reproduction d'affiches révolutionnaires de l'URSS, de Cuba et de Chine trouvé complètement par hasard sur internet et téléchargées en totalité compte tenu de leur grand intérêt

On pourra développer une autre fois ce qui en fait la force et la composition : sans égard aux causes qu'elles servaient, ces images sont souvent fortes, esthétiquement réussies, marquantes. C'est aussi pourquoi il était tentant de les utiliser en les recyclant dans l'actualité du moment, sursaturée de l'idéologie de la rupture servie abondamment en 2007 par le nouveau Président et ses affidés.

Toutes les affiches sont mises en ligne ici. Les plus motivés par ce type de représentation pourront me demander un CD s'ils veulent en garder trace.

Pour les amateurs, on trouvera également une très belle collection à cette adresse.



lundi 28 janvier 2008

Cycle réalisme magique (4) : Stanislav Plutenko


Je ne sais plus comment j'ai découvert Stanislav Plutenko, mais ses œuvres m'ont tout de suite marqué par leur mélange d'hyperréalisme bien léché et de situations les plus bizarres : peut-être l'incarnation contemporaine la plus pure du réalisme magique, peut-être due à l'esprit russe de leur auteur : goût du paradoxe, originalité de l'inspiration, profondeur du regard...




samedi 26 janvier 2008

Voeux 2008, making of : la musique


Ceux qui ont pu entendre la bande son des voeux 2008 ont bien sûr reconnu le puissant, magnifique hymne national de l'Union soviétique, chanté par les chœurs de l'armée rouge en l'occurrence.


L'article de Wikipédia correspondant comporte les paroles et leur traduction. On y prendra également connaissance de ses divers avatars : il a remplacé l'internationale en 1944, puis fut réécrit pour enlever toute mention de Staline en 1977, puis réécrit à nouveau pour devenir l'hymne national de la Russie désoviétisée... et qui plus est, c'est le même scénariste qui, de 1944 à 2000, a lui-même écrit et réécrit les paroles ! Belle illustration des rémanences de la glorieuse histoire russe, non ?


Un site internet complet est consacré à toutes les versions de cet hymne célébrissime.

Soyons généreux,en voici quatre versions vidéo :
  • une version originale sous titrée en anglais et présentant également une série de très belles affiches du bon vieux temps
  • une version en anglais, pourquoi pas, bien illustrée (l'hymne soviétique apparemment n'a jamais été chanté en français)
  • une version "techno", bien illustrée également
  • et enfin, une version sous-titrée en français à ne surtout pas manquer et dont vous me direz des nouvelles !



jeudi 24 janvier 2008

Ayons la fibre durable !

Très fier, je suis très fier de mes soldes 2008. En effet, de retour a casa, voici l'étiquette trouvée sur un des vêtements acheté en toute inconscience consommatoire au premier abord, je l'avoue :


Ouh là là, on ne plaisante pas avec ça ! C'était mes premières soldes durables...

dimanche 20 janvier 2008

Un pur moment de bonheur

Jour d'opéra aujourd'hui : Tosca. Un pur moment de bonheur dans tous les instants. Comme souvent, l'argument est mince mais fort et sombre. Il n'échappe pas à la tragédie romantique et verserait vite dans l'excès de pathos et au final dans le ridicule s'il n'était servi par une musique subtile, légère, vive, intelligente, en l'occurrence magnifiquement interprétée. Et pourtant, l'opéra italien du XIX° n'est pas vraiment ma tasse de thé. Mais manifestement, Puccini n'est pas Verdi : on le savait, mais qu'on se le (re)dise. Et en prime, une belle fable contre le totalitarisme, la réaction, la violence du pouvoir.


Quant aux chanteurs : impeccable technique, formidable présence sur scène. Je ne peux faire mieux que de les citer pour leur performance :

Le meilleur de l'art lyrique, heureusement consacrée par une salle pleine et attentive. C'était ce qu'il fallait pour reléguer définitivement au dernier rang les contrariétés du temps.

Ci-dessous quelques airs, dont deux des plus connus de Tosca, ici repris d'un enregistrement de La Callas qui remonte à 1953. Le premier extrait vidéo présente l'air "E lucevan le stelle" chanté par le même ténor urugayen que tout à l'heure, mais dans une autre mise en scène. Le deuxième clip vidéo comprend le film d'animation sur le même air illustrant la scène en question et issu de la série opéra imaginaire produite par France télévisions en 1993.




Enfin, le début 2008 sera celui de l'opéra : programmés en mars, à la faveur d'une petite semaine à Munich, "Tarmelan" de Haendel et "la Traviata", tous les deux à l'opéra de Bavière... et puis en avril Don Juan peut-être. Le blog ne manquera pas d'en rendre compte évidemment.

samedi 19 janvier 2008

Cycle réalisme magique (3) : Rob Gonsalvès



De toute évidence, Magritte et Escher hantent fortement les compositions du canadien ontarien Rob Gonsalvès, dont les tableaux parfaitement léchés évoquent les illustrations de livres pour enfant, son genre de prédilection.

Ses galeries disponibles sur internet offrent des dizaines d'application colorées de séries escheriennes, trompe l'oeil, faux reliefs et fausses perspectives en tout genre...




jeudi 17 janvier 2008

Combien de bises ?

Je trouve sur un de mes sites préférés cette carte que le monde entier scrute. Il s'agit, enfin, de la cartographie du nombre de bises qu'il est habituel d'échanger dans chacun des départements français, établie rigoureusement au fil de 18 000 contacts partout en France qu'on peut trouver sur ce site internet bien français dédié spécialement à la chose.

Les quelques commentaires faits sur le site anglophone à propos de cette carte valent d'être traduits

(les * signalent les mots en français dans le texte anglais original)

Plus de 18 000 votes ont été recueillis pour déterminer une bonne fois pour toutes quelle est la réponse à cette question brulante : Combien de bises* ? Faire des bises en France est une question bien plus complexe que la réputation bien française et quelque peu exagérée de lascivité insouciante n'implique.

A la différence de beaucoup de nationalités plus réservées, les Français se saluent en s'embrassant sur les joues - mais cette pratique varie tant qu'on risque l'embarras social* si celui qui embrasse souhaite donner plus de bises que n'en attend l'embrassée.

Supposez un moment que vous êtes parti pour donner trois bises et que l'autre personne se détourne après deux bises. Quelle humiliation !

Cela a du arriver quelquefois à Gilles Debunne, qui a mis en place en 2007 un site internet pour résoudre la question du décompte des bises françaises une bonne fois pour toutes. Debunne a demandé à ses compatriotes* de lui dire combien de bises il est d'usage de faire dans chacun de leur département*. Ce nombre, qui varie de un à quatre (cinq, c'est trop, même pour les Français) est sujet à des variations régionales intéressantes.

  • Une bise est préférée dans deux départements seulement : le Finistère, au bout de la Bretagne, et les Deux-Sèvres, en région Poitou-Charente
  • Ailleurs en Poitou-Charente, trois bises sont préférées dans les départements de la Vienne et de la Charente. Le bloc le plus important des départements à trois bises est situé dans le sud-est. Trois bises * sont de mise en Ardèche, Aveyron, Cantal, Drôme, Haute Loire, Hautes Alpes, Hérault, Gard, Lozère et Vaucluse.
  • Quatre bises sont de rigueur dans une importante zone du nord-est de la France. Mis à part le département côtier du Pas-de-Calais, isolé, il s'agit d'un seul bloc de 22 départements, de la Normandie à la frontière belge : Ardennes, Aube, Calvados, Eure, Eure et Loire, Haute Marne, Indre, Indre et Loire, Loire et Cher, Loire Atlantique, Loiret, Maine et Loire, Manche, Marne, Mayenne, Orne, Sarthe, Seine et Marne, Seine-St-Denis, Val d’Oise, Vendée et Yonne.
  • Le reste du pays est territoire à deux bises, sauf pour ce qui concerne ce département au nord-est de Paris, le même qui a voté majoritairement pour Ségolène Royal dans l'océan de votes pour Sarkozy de ces régions lors des élections présidentielles de 2007.

Cette carte ne permet pas de visualiser les différences intradépartementales. Apparemment, les quatre bises* ont gagné de justesse dans le Pas de Calais, où 50% des sondés ont dit préférer deux bises. Mais que se passe-t-il donc quand des représentants des deux camps se rencontrent ? Un faux Pas de Calais* ? Et tout ceci ne tient pas compte des distinctions de classes ou d'âge qui peuvent jouer un rôle dans le nombre de bises requises ou attendues.

" Si vous êtes invité à un dîner avec des gens que vous ne connaissez pas, vous vous serrerez la main quand vous arriverez. A la fin de la soirée, vous pourrez embrasser mais il est probablement mieux de rester sur la réserve et d'observer ce qui va se passer." écrit Constance Rietzler, directrice de la "La Belle Ecole" à Paris, qui propose des cours d'art de vivre, et espérons-le aussi, de joie de vivre, citée dans cet article du Times signalé sur le site de Monsieur Debunne.

Cette carte a été envoyée par Romke Soldaat, du site Frogsmoke et qui pose la question : "Qu'est ce qui fait de la France un pays aussi attachant et en même temps aussi irritant ?? Pourquoi aime-t-on un jour les Français et les hait-on le lendemain ?". Il donne quelques réponses amusantes à cela, qui valent la peine d'être lues.


mardi 15 janvier 2008

Cycle réalisme magique (2) : les ultra-fondamentaux


Pour poursuivre en deuxième étape notre cycle "réalisme magique", posons deux fondamentaux : Magritte et Cortazar.

Un peu de bonne lecture ne peut pas faire de mal. Voici donc, dans son intégralité, Continuité des parcs, texte fondateur du réalisme magique, issu des Armes secrètes, le recueil de nouvelles de Julio Cortazar. Ne manquez pas d'autres textes à l'occasion comme Axolotl, dont le frisson me poursuit depuis trente années maintenant, chaque fois que je passe vers le jardin des plantes à Paris.

Quant à Magritte, on ne présente plus. Les quelques reproductions de ses œuvres ici choisies se suffisent amplement à elles-mêmes pour évoquer le genre.


Continuité des parcs

Il avait commencé à lire le roman quelques jours auparavant. Il l'abandonna à cause d'affaires urgentes et l'ouvrit de nouveau dans le train, en retournant à sa propriété. Il se laissait lentement intéresser par l'intrigue et le caractère des personnages. Ce soir-là, après avoir écrit une lettre à son fondé de pouvoirs et discuté avec l'intendant une question de métayage, il reprit sa lecture dans la tranquillité du studio, d'où la vue s'étendait sur le parc planté de chênes. Installé dans son fauteuil favori, le dos à la porte pour ne pas être gêné par une irritante possibilité de dérangements divers, il laissait sa main gauche caresser de temps en temps le velours vert. Il se mit à lire les derniers chapitres. Sa mémoire retenait sans effort les noms et l'apparence des héros. L'illusion romanesque le prit presque aussitôt. Il jouissait du plaisir presque pervers de s'éloigner petit à petit, ligne après ligne, de ce qui l'entourait, tout en demeurant conscient que sa tête reposait commodément sur le velours du dossier élevé, que les cigarettes restaient à portée de sa main et qu'au-delà des grandes fenêtres le souffle du crépuscule semblait danser sous les chênes.


Phrase après phrase, absorbé par la sordide alternative où se débattaient les protagonistes, il se laissait prendre aux images qui s'organisaient et acquéraient progressivement couleur et vie. Il fut ainsi témoin de la dernière rencontre dans la cabane parmi la broussaille. La femme entra la première, méfiante. Puis vint l'homme, le visage griffé par les épines d'une branche. Admirablement, elle étanchait de ses baisers le sang des égratignures. Lui, se dérobait aux caresses. Il n'était pas venu pour répéter le cérémonial d'une passion clandestine protégée par un monde de feuilles sèches et de sentiers furtifs. Le poignard devenait tiède au contact de sa poitrine. Dessous, au rythme du cœur, battait la liberté convoitée. Un dialogue haletant se déroulait au long des pages comme un fleuve de reptiles, et l'on sentait que tout était décidé depuis toujours. Jusqu'à ces caresses qui enveloppaient le corps de l'amant comme pour le retenir et le dissuader, dessinaient abominablement les contours de l'autre corps, qu'il était nécessaire d'abattre. Rien n'avait été oublié: alibis, hasards, erreurs possibles. A partir de cette heure, chaque instant avait son usage minutieusement calculé. La double et implacable répétition était à peine interrompue le temps qu'une main frôle une joue. Il commençait à faire nuit.


Sans se regarder, étroitement liés à la tâche qui les attendait, ils se séparèrent à la porte de la cabane. Elle devait suivre le sentier qui allait vers le nord. Sur le sentier opposé, il se retourna un instant pour la voir courir, les cheveux dénoués. A son tour, il se mit à courir, se courbant sous les arbres et les haies. A la fin, il distingua dans la brume mauve du crépuscule l'allée qui conduisait à la maison. Les chiens ne devaient pas aboyer et ils n'aboyèrent pas. A cette heure, l'intendant ne devait pas être là et il n'était pas là. Il monta les trois marches du perron et entra. A travers le sang qui bourdonnait dans ses oreilles, lui parvenaient encore les paroles de la femme. D'abord une salle bleue, puis un corridor, puis un escalier avec un tapis. En haut, deux portes. Personne dans la première pièce, personne dans la seconde. La porte du salon, et alors, le poignard en main, les lumières des grandes baies, le dossier élevé du fauteuil de velours vert et, dépassant le fauteuil, la tête de l'homme en train de lire un roman.

Julio CORTAZAR, Les armes secrètes (coll. Folio, éd. Gallimard)

samedi 12 janvier 2008

Cela s'appelle l'Aurore

La femme Narsès

Je sens évidemment qu'il se passe
quelque chose, mais je me rends mal compte
Comment cela s'appelle-t-il quand le jour se lève,
comme aujourd'hui, et que tout est gâché,
que tout est saccagé, et que l'air pourtant se respire, et qu'on a tout perdu,
que la ville brûle, que les innocents s'entretuent, mais que les coupables
agonisent, dans un coin du jour qui se lève ?

Electre

Demande au mendiant, il le sait.

Le Mendiant

Cela a un très beau nom, femme Narsès. Cela s'appelle l'aurore.

Rassurez vous, la guerre civile n'a pas décimé Pien : tout va bien ici. C'est que le magnifique lever de soleil saisi hier dans le jardin m'a juste remis en mémoire ces répliques finales de l'Electre de Giraudoux à la si belle teinte mêlée de catastrophe et d'espérance.

Bon anniversaire Jean-Paul !

jeudi 10 janvier 2008

Spéciale carte de voeux : ensemble, communiquons !

Depuis vingt-six siècles au moins, c'est-à-dire depuis Platon et ses adversaires sophistes, l'humanité devrait avoir une claire conscience des relations pour le moins bizarres qu'entretiennent les mots et les choses.

Ainsi de certains mots, rabâchés par l'air du temps, dont la prolifération dans les discours n'indique rien d'autre que leur contraire c'est-à-dire leur amenuisement, leur raréfaction, leur dégradation ultime ou leur vacuité dans la vraie réalité. "Citoyenneté", "Respect", "Valeur", "Avenir", "Pouvoir d'achat" par exemple.

Nous sommes là aux fondements d'une forme de manipulation mentale vieille comme le monde humain qu'on pourrait nommer "idéologie incantatoire", dont les politiques de tous les siècles ont usé sans relâche. Et cela marche encore, pourvu de servir au peuple désirant ce qu'il désire entendre et lui affirmant sans vergogne que les mots sont des choses, pour de vrai, si, si !


La considération de quelques cartes de voeux reçues cette année fait réfléchir. "Ensemble", ça ne vous rappelle rien ?


Hum, hum... Alors pour aller plus loin, rendons les mots aux choses et complétons un chouïa l'œuvre communicante pour la rendre plus authentique.



Voilà qui est fait. La dernière affiche a circulé sur le net au cours de la campagne des Présidentielles 2007. Je n'y suis pour rien, je le jure. Bonne nuit à vous.

PS : et je vous assure bien que les deux cartes de voeux concernées émanent d'organes fort peu proches de not'Président "Ensemble-possible". Et même tout à fait au contraire. Bravo les communicants !

samedi 5 janvier 2008

Photogénique Versailles


Depuis plus de vingt années, je visite Versailles par petits bouts. La photo numérique permet maintenant de garder trace de ces visites à bon compte, et l'internet de les partager facilement. Les meilleures images des visites 2004 et 2005 sont disponibles sur le site internet en cliquant ici

Il faut connaitre Versailles pour se rendre compte de ce que le pouvoir royal, puis national, représente vraiment en France.

Edifice foncièrement laïque, Versailles est l'accomplissement d'un projet politique peu commun dont la République est héritière à bien des égards. La partie publique du Chateau et les jardins étaient librement ouverts à quiconque souhaitait les visiter, même du temps du Grand Roi : l'accueil d'un très grand nombre de visiteurs fait partie des rites et contraintes du lieu...

Le blog reviendra forcément sur Versailles.


vendredi 4 janvier 2008

Cycle réalisme magique (1) : l'alphabet des objets impossibles

Le cube impossible


On peut parler à propos d'Escher - voir messages antérieurs - de réalisme magique. De quoi s'agit-il ?

Ce genre pictural produit des images souvent colorées, mélangeant ultra réalisme et mondes impossibles. J'aime ce mélange paradoxal, qui connait aussi son équivalent littéraire avec des auteurs comme l'argentin Julio Cortazar. Lire d'urgence à ce propos ce recueil de nouvelles troublantes, livre devenu culte auprès de tout ceux qui le connaissent : Les armes secrètes.

Et pour se mettre en jambe aujourd'hui, avant de passer aux artistes de référence, quelques reproductions d'objets impossibles et quelques unes de leurs applications, l'air de rien, qui constituent comme le B.A.BA du réalisme magique.

Le triangle de Penrose

Une représentation du Blivet, célèbre objet impossible
Une application du cube impossible


et quelques applications du célèbre escalier sans fin pour terminer...







mardi 1 janvier 2008

Voeux personnels officiels - Nous vivons une epoque formidable



On se demande bien pourquoi, alors que ce blog essaye d'éviter toute incursion trop directe dans les affaires du temps, j'ai subitement eu envie de produire cette année des voeux très politiques...

Voilà, les âmes sensibles sont prévenues, vous pouvez visualiser la chose. Le blog vous dévoilera quelques aspects du "making of" un peu plus tard.

Voici donc tous mes voeux personnels officiels, à tous les lecteurs de ce message que j'ai l'heur de connaître, et aux frères humains qui seront passés par là (et aux soeurs aussi)





Ceux qui ne disposent pas de connexion rapide peuvent accéder en cliquant sur ce lien à une version hélas non sonorisée et plus statique, mais lisible quand même.

Enfin, pour ceux qui voudraient télécharger le montage (10 Mo) cliquer sur ce lien avec la partie droite de la souris et choisir "Enregistrer la cible du lien sous"

J'espère que vous apprécierez. Et en route pour de nouvelles aventures !

(lien vers le making of : la musique et les images)