signalé par un ami. Il était temps en effet que les plus hautes autorités sportives prennent des mesures !
Blog perso pour se faire plaisir et communiquer avec les amis qui sont loin, et tous les autres : visites, impressions, découvertes...
Les humeurs quotidiennes ont été reléguées sur Facebook. J'ai dû désactiver les commentaires à cause des spams, désolé.
samedi 3 mai 2008
vendredi 2 mai 2008
La cocotte-minute, le regret
C'était il y a plus de vingt ans je pense, porte de Vanves. Me promenant sur les puces qui s'organisent tous les week-end dans le secteur, je suis tombé en arrêt devant un tableau carré représentant une cocotte-minute, fasciné par l'hyperréalisme de la représentation, et en même temps par sa gratuité : qui donc pouvait trouver une cocotte minute en inox intéressante à peindre, en rendant parfaitement ses reflets, sa rodondité ?
L'artiste était là, nous avons engagé la conversation. Il fallait 3 000 francs pour emporter l'œuvre mais j'ai bien senti que 2 000 suffiraient si on discutait bien. J'ai hésité, balancé : je ne les avais pas, ces 2 000 francs, mais j'aurais pu les inventer à la rigueur, en m'endettant un peu plus, en me privant du nécessaire et du reste.
Finalement, hélas, cette fois là, j'ai été raisonnable. Mais qu'est-ce que je le regrette ! Cette cocotte-minute me manque incroyablement, le souvenir de cette occasion manquée m'a toujours poursuivi. Dans chacun de mes appartements successifs, je n'ai pas pu m'empêcher de lui attribuer mentalement sa place naturelle. Là encore, dans cette nouvelle habitation un peu froide et impersonnelle, à laquelle j'ai encore du mal à m'habituer, elle me manque.
J'ai bien évidemment fait quelques recherches, et je l'ai bien retrouvé, ma cocotte. C'est le motif fétiche de Jean-Marc Dallanegra, qui est sans conteste l'artiste concerné, qui en a peint des centaines semble-t-il, toutes différentes. Il faut maintenant sans doute bien plus de 300 Euros pour acheter une de ses cocottes minutes. Mais on ne sait jamais, s'il tombe sur ce message, peut-être fera-t-il cette fois-ci affaire avec un vieux client... virtuel.
Moralité : en matière artistique, il n'est pas bon être raisonnable. Les soucis liés à cet achat seraient morts depuis fort longtemps, mais à ce jour, ma cocotte minute trônerait dans la grande pièce de l'appartement !
L'artiste était là, nous avons engagé la conversation. Il fallait 3 000 francs pour emporter l'œuvre mais j'ai bien senti que 2 000 suffiraient si on discutait bien. J'ai hésité, balancé : je ne les avais pas, ces 2 000 francs, mais j'aurais pu les inventer à la rigueur, en m'endettant un peu plus, en me privant du nécessaire et du reste.
Finalement, hélas, cette fois là, j'ai été raisonnable. Mais qu'est-ce que je le regrette ! Cette cocotte-minute me manque incroyablement, le souvenir de cette occasion manquée m'a toujours poursuivi. Dans chacun de mes appartements successifs, je n'ai pas pu m'empêcher de lui attribuer mentalement sa place naturelle. Là encore, dans cette nouvelle habitation un peu froide et impersonnelle, à laquelle j'ai encore du mal à m'habituer, elle me manque.
J'ai bien évidemment fait quelques recherches, et je l'ai bien retrouvé, ma cocotte. C'est le motif fétiche de Jean-Marc Dallanegra, qui est sans conteste l'artiste concerné, qui en a peint des centaines semble-t-il, toutes différentes. Il faut maintenant sans doute bien plus de 300 Euros pour acheter une de ses cocottes minutes. Mais on ne sait jamais, s'il tombe sur ce message, peut-être fera-t-il cette fois-ci affaire avec un vieux client... virtuel.
Moralité : en matière artistique, il n'est pas bon être raisonnable. Les soucis liés à cet achat seraient morts depuis fort longtemps, mais à ce jour, ma cocotte minute trônerait dans la grande pièce de l'appartement !
mercredi 30 avril 2008
Welcome back
Ouf, j'ai enfin retouché la surface. Les nouvelles coordonnées vont partir à tous. Si vous ne les voyez pas venir, un petit mail suffira pour me situer dans la galaxie :-) : queva.denis@gmail.com
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