Trouvée par internet et achetée, cette gravure originale de 1889 d'après "L'Eclusée", présentée cette année là au Salon des artistes français par Ferdinand Gueldry
Blog perso pour se faire plaisir et communiquer avec les amis qui sont loin, et tous les autres : visites, impressions, découvertes...
Les humeurs quotidiennes ont été reléguées sur Facebook. J'ai dû désactiver les commentaires à cause des spams, désolé.
dimanche 7 février 2016
L'Eclusée (suite)
Trouvée par internet et achetée, cette gravure originale de 1889 d'après "L'Eclusée", présentée cette année là au Salon des artistes français par Ferdinand Gueldry
samedi 30 janvier 2016
L'Eclusée
Grande toile, mais peut-être parmi de celles qu'on regarde le moins. C'est que les naturalistes ne peuvent rivaliser avec les impressionnistes. Peut-être un juste retour des choses : car ce sont bien les naturalistes qui étaient à la mode pour leurs contemporains. Van Gogh n'a que vendu une seule toile alors qu'il n'en produit 80 pendant les 70 jours qu'il a passé à Auvers sur Oise. Et Ferdinand Gueldry exposait encore en 1933, alors que Picasso et Monet exposaient aussi déjà. Mais Gueldry n'a même pas de page "Wikipédia". Sic transit.
Passons : cette toile a arrêté le visiteur. Evidemment l'atavisme familial fluvial y est quelque chose. Voici donc l'éclusée "avalante", c'est à dire descendante vers l'aval. Gueldry aime les scènes de canotage et autres. Cette toile ouvre une perspective bien travaillée : le fond de l'écluse l'impose.
Passons : cette toile a arrêté le visiteur. Evidemment l'atavisme familial fluvial y est quelque chose. Voici donc l'éclusée "avalante", c'est à dire descendante vers l'aval. Gueldry aime les scènes de canotage et autres. Cette toile ouvre une perspective bien travaillée : le fond de l'écluse l'impose.
Au delà, nous sommes sans doute un des dimanches de l'été d'une des années 1880 - le tableau a été présenté en 1889. Sportifs et promeneurs se mêlent dans la douceur de l'après-midi. Ce que l'on appelle une "promenade démocratique", apanage d'un pays apaisé et pacifique, fait rare sur la planète, à l'époque comme maintenant. Le tableau est visible au Musée des Beaux-Arts de Reims.
dimanche 17 janvier 2016
Sélection des images 2015 : bouclage
La sélection d'images pour l'année 2015 présente un programme réfléchi et moins spontané que les autres années. Les lieux, pour la plupart d'entre eux, étaient en effet prémédités, pour une raison ou pour autre.
Mais il faut s'inventer de temps en temps un programme de visites à partir de ses curiosités et intérêts : à défaut, la frustration viendrait trop forte... comme un engagement pris avec soi-même, mais qu'on ne suivrait jamais.
Ainsi, 2015 a permis de visiter Bergues et Dunkerque, totalement inconnus mais pourtant proches, le vieux Bordeaux, jusqu'ici ignoré, la corderie de Rochefort, ce morceau du XVII° siècle tombé au milieu du XXI°, les Ardennes méconnues, richissimes d'histoire, l'Abbaye d'Ourscamp, lieu cistercien très important, très proche, mais jamais vu, le tout nouvel auditorium de la Maison de la Radio si attendu...
Malgré le peu d'attrait pour le tourisme guerrier, le centenaire de la première guerre mondiale ne peut ignorer le regard porté sur ses innombrables traces, de plus près et en proximité, comme par devoir du citoyen habitant de ces régions ravagées.
Ajoutons quelques images d'opportunité ainsi que quelques étapes rémoises stockées sur la liste personnelle imaginaire : la synagogue et la villa Demoiselle.
Enfin les étapes plus lointaines : un séjour à Stockholm, remarquable à tout point, et les empreintes canadiennes déjà connues et amies et désormais plus sélectives.
Mais il faut s'inventer de temps en temps un programme de visites à partir de ses curiosités et intérêts : à défaut, la frustration viendrait trop forte... comme un engagement pris avec soi-même, mais qu'on ne suivrait jamais.
Ainsi, 2015 a permis de visiter Bergues et Dunkerque, totalement inconnus mais pourtant proches, le vieux Bordeaux, jusqu'ici ignoré, la corderie de Rochefort, ce morceau du XVII° siècle tombé au milieu du XXI°, les Ardennes méconnues, richissimes d'histoire, l'Abbaye d'Ourscamp, lieu cistercien très important, très proche, mais jamais vu, le tout nouvel auditorium de la Maison de la Radio si attendu...
Malgré le peu d'attrait pour le tourisme guerrier, le centenaire de la première guerre mondiale ne peut ignorer le regard porté sur ses innombrables traces, de plus près et en proximité, comme par devoir du citoyen habitant de ces régions ravagées.
Ajoutons quelques images d'opportunité ainsi que quelques étapes rémoises stockées sur la liste personnelle imaginaire : la synagogue et la villa Demoiselle.
Enfin les étapes plus lointaines : un séjour à Stockholm, remarquable à tout point, et les empreintes canadiennes déjà connues et amies et désormais plus sélectives.
Inscription à :
Articles (Atom)