Regardez la bien, cette cocotte-minute. Dans ce message ancien déjà, je m'épanchais en disant tous les regrets que j'avais eus de ne pas l'avoir acheté, ce tableau.
Et bien figurez vous que ses acquéreurs - mais comment diable sont-ils donc tombés là-dessus ? - m'ont envoyé ce laconique message tout plein de compatissante ironie entre ses lignes, le 9 mars dernier - petit miracle du quotidien cybernétique :
Le temps d'un échange de courriels, la photo était là. Merci à ces mystérieux amis de goût.
Ainsi ajouterai-je désormais au fronton de mon Panthéon très personnel - et en lettres de feu s'il vous plaît - cette devise : Quand ça fait ding, faut pas hésiter. Qu'on se le dise :-)
PS : Pour la vérité historique, signalons que plusieurs variantes de ce même tableau se trouvaient à la vente à la même époque. Mais quand même, celui-ci a très bien pu être l'ex-futur mien.
PS : Pour la vérité historique, signalons que plusieurs variantes de ce même tableau se trouvaient à la vente à la même époque. Mais quand même, celui-ci a très bien pu être l'ex-futur mien.