Revenons à Boris comme convenu : il nous transporte cette fois dans un univers parallèle tout en aquarelle, en sourire entendu et clin d'oeil complice. Je trouve le remake du joueur de flute de Hamelin très réussi : l'ombre portée des maisons moyenâgeuses sur le troupeau électronique n'annonce en effet rien de trop bon pour elles.