Blog perso pour se faire plaisir et communiquer avec les amis qui sont loin, et tous les autres : visites, impressions, découvertes...
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dimanche 5 août 2012

Le terme du voyage




C'était le terme du voyage de cet été, le point au delà duquel le retour s'amorce : Rue de Paris, temps de pluie. Un des plus beaux tableaux impressionnistes, à la luminosité et la perspective fabuleuses, quasi cinématographique 25 ans avant la projection du premier film des frères Lumière,  par Caillebotte, peintre  aimé dont le blog a déjà parlé


Et pourquoi pas ? Cette grande toile impeccablement composée le vaut bien. Voilà au moins qui donne à l'arbitraire de ce choix une espèce de motif,  un sentiment d'achèvement... enfin ! 










samedi 3 mars 2012

Bouclage de la sélection 2011






De "A" comme Ailles et Arcachon, à "W" et "Z" comme Washington DC et Zeebrugge, la sélection 2011 est bel et bien bouclée. Particulièrement dense et diverse, puisqu'elle mêle le nouveau et l'ancien Monde, les Métropoles comme les délaissés du territoire et le patrimoine humain de tous les siècles. Bon voyage !





mercredi 21 décembre 2011

Mise à jour de la sélection 2011



On n'y avait pas touché depuis avril, alors forcément, cette mise à jour est d'importance. On y trouvera pêle-mêle l'excursion flamande, la tournée nord-américaine, de nombreux endroits de Paris et de ses alentours, que l'on revisite avec bonheur après de nombreuses années d'éclipse... Et puis quelques grands classiques des sélections précédentes : Charleville et son festival de la marionnette, le Lac du Der en vidange, le Familistère de Guise, qui n'en finit pas de s'embellir enfin, quelques musées. Et plein d'autres endroits.

Quelques séries d'images restent encore à trier et à mettre en forme visible... La sélection 2011 n'est donc pas encore tout à fait bouclée.




vendredi 9 décembre 2011

Bureaucratie


Projet photographique un peu foldingue comme on les aime : Jan Banning, photographe néerlandais d'origine indonésienne, a fait une très belle série sur les bureaux, dont voici une sélection. Le bureau, lieu de travail paperassier - o combien dans certaines images - est bien un univers à soi tout seul, très révélateur de la culture qui l'inspire. Un univers du chacun pour soi, accroché à son meuble qui le protège du monde et qui met à distance l'autre : le collègue, l'usager, le demandeur... Tous les clichés sont pris dans des administrations publiques.

Petite sélection parmi 68 beaux portraits, rapportés d'Inde, de France, des Etats-Unis, de Bolivie, du Nigéria, du Yémen, de Chine et de Russie.

Toutes les informations sur chaque image se trouvent sur le site de l'auteur (bandeau en haut de l'image en mode diaporama), y inclus... le salaire de chacun des personnages représentés. Grande leçon d'humilité.

Malgré un travail très important et très singulier, Jan Banning a très peu exposé en France, il sera à Sète pour le festival Images Singulières fin mai/début juin 2012. Il présente en ce moment ses beaux portraits d'immigrés, façonnés à la manière des peintres flamands, dans une galerie d'Amsterdam.















samedi 15 octobre 2011

Ile de Nantes, fabrique de machines





Si la vitalité d'une ville se mesure à sa capacité à rénover son architecture et à rassembler sa population autour de lieux emblématiques, alors Nantes est à l'évidence dans le rang de tête du niveau mondial. Avant-garde de sa mutation, l'île de Nantes, où se côtoient immeubles rénovés, entrepôts anciens, voies autrefois industrieuses et portuaires, désormais vouées à la Promenade et au divertissement. Et au premier rang, les Machines de l'Ile, phénomène nantais sans équivalent nulle part ailleurs. De la magie bien réelle accessible à tous.


Et deux réflexions viennent à l'esprit : faut-il que notre société soit riche de finances et de compétences pour arriver à ce résultat, premièrement. Raison majeure pour apprécier d'autant plus ce qui est proposé. Faut-il aussi, deuxièmement, que l'argent public soit en France si abondant qu'il permette ces réalisations au service de tous.Plus techniquement, on appréciera sans mesure l'esprit des aménagements des bords de Loire, qui réutilisent au maximum les vestiges du passé portuaire de la ville : cales sèches aménagées en jardins humides comme si le jardinier n'y était jamais venu, cheminements grossièrement pavés conservés intacts, rails anciens laissés apparents. Une réussite sans sophistication inutile, solide dans le temps... les anneaux de Buren symbolisant toutefois la rénovation du lieu... quand même !





dimanche 9 octobre 2011

Flandres/Vlanderen





Le printemps exceptionnellement beau était l'occasion pour une fois d'aller vers le nord sans crainte des intempéries et de s'acquitter d'une tâche importante : revoir Bruges, Gand et la côte flamande. Réussite totale de cette aventure tranquille, car il vaut mieux pouvoir lever le nez dans ces villes remarquables que la pluie visite tout de même assez régulièrement.

Avec Bruges et Gand, nous sommes dans le patrimoine mondial à deux pieds : tout est classé et il ne reste qu'à en profiter. Les photos diront tout, ou presque. Et le tourisme de mai en semaine, encore très raisonnable, n'a jamais gâché le plaisir.

Quant à la côte, bien sûr, il faut aimer ces immenses plages venteuses, ces stations à l'ancienne à demi-mortes hors saison, cette espèce de vacuité qui laisse l'esprit vagabonder. Moi, j'adore.


samedi 8 octobre 2011

Mémoires d'Europe (3) : lettre à mes amis polonais/List do moich polskich znajomych





Bien chers amis polonais,

Que nous nous connaissons depuis longtemps déjà ! Malgré les vicissitudes de l'histoire (et, en la matière, vous en connaissez un rayon) on a toujours trouvé chez vous les mêmes traits de caractères dans la relation : humeur joviale et malicieuse, francophilie démesurée (cela aide), débrouillardise et pragmatisme solide.

 Nous avons traversé ensemble tous ces évènements inouïs de la fin du XX° siècle. Cela crée des liens.

On croirait plusieurs siècles passés depuis le temps où nous nous cachions des autorités varsoviennes, tout notables locaux que vous étiez, installés dans le système faute d'autre engagement possible, pour vider ensemble quelques bouteilles de Vodka de chez vous, de la Wyborowa évidemment - pas de la vodka russe, on se demande bien pourquoi.

Malgré les dodna (cul-sec) qui s'enchaînaient, je m'en souviens parfaitement. Wyborowa est maintenant propriété du groupe Pernod-Ricard, qui aurait pu le prophétiser ? A l'époque, le coût d'une demi-bouteille de Wyborowa dans les deux devises donnait le taux de change officieux entre le dollar US et le zloty : 1 $ pour 700 zlotys, soit sept fois plus que le taux de change fixé par l'Etat communiste.

On se souviendra aussi d'une promenade avec vous par temps de neige sur le pont découvert d'un bateau mouche à Paris où, officiels en visite officielle que vous étiez, vous remarquiez d'un air rigolard qu'il y avait quand même plus de ponts à Paris qu'à Moscou...



Vous avez réintégré l'Europe à laquelle vous n'avez jamais cessé d'appartenir : il suffit pour s'en convaincre de se promener chez vous, pour s'y sentir maintenant comme chez soi. 

L'hiver en moins, car il est rude encore, mais il l'était encore plus à la grande époque de la grisaille générale, quand les rayonnages des magasins étaient littéralement vides. Quand acheter une casquette à sa taille pour se protéger des -20° C d'un terrible mois de février s'est avéré tout simplement... impossible. Le produit n'existait pas, et nous ne savions même pas comment dépenser les zlotys du change obligatoire.

La couleur a fait sa réapparition partout chez vous, mais il s'agit hélas d'abord de celle de la publicité, envahissante au possible. Désespérante et frustrante aussi, car si peu d'entre vous ont déjà les moyens d'acheter les produits vantés par les multinationales européennes qui se sont jetées sur le pays dès son ouverture économique, vos élites jouant aux néocapitalistes plus capitalistes que les capitalistes... le zèle des néophytes. De même que diplomatiquement, vos gouvernants se proclament plus atlantistes encore que les américains eux-mêmes !

Votre francophilie est à la mesure de la cruauté dont on fait preuve la Russie, la Prusse et l'Autriche-Hongrie pour dépecer votre territoire à partir de la fin du XVIII° siècle, alors que votre grande nation était déjà bien constituée et dominait largement les zones baltes depuis des siècles. 

Napoléon, autre raison de votre francophilie, avait d'ailleurs bien compris qu'en ré-instituant l'éphémère grand Duché de Varsovie alors que partout ailleurs il départementalisait les territoires conquis, il gagnait votre estime en s'appuyant sur la fierté nationale si souvent bafouée par les autres envahisseurs historiques.

Vous avez résisté à tout cela, et on se demande comment, maintenant que vous êtes si proches de nous. La monstruosité et la perversité du système soviétique apparaît alors, car elle s'est appliquée à vous comme à des semblables. Nous le voyons maintenant que vous avez rejoint si vite notre monde, faisant éclater au grand jour votre modernité et votre européanité, nous permettant ainsi de nous projeter à votre place dans ce hideux système heureusement défunt.

Outre votre langue, outil d'identification évident et pérenne, la religion catholique fut le ressort principal de cette résistance et cette ferveur religieuse presque totalement disparue chez nous nous sépare assurément.

Elle nous sépare d'autant qu'elle prend souvent le visage de la bigoterie, de l'intolérance et de l'emprise obscurantiste sur la société. Mais on peut en faire le pari : privée progressivement de son carburant, l'oppression du sentiment national, et comme dans tous les autres pays européens, l'Eglise polonaise reviendra à la place qu'elle occupe dans tous les autres pays : une puissance spirituelle, déclinante au demeurant, dont la société acceptera peut être les conseils et avis, mais certainement plus les injonctions.

Je retournerai vous voir : la Pologne n'est pas si loin et il y a tant à y découvrir. Et il est maintenant tellement plus facile de vous accueillir ici. Tant à partager encore avec vous !





jeudi 2 juin 2011

Frontière




Le blog a déjà fait état d'un goût immodéré pour les zones frontières, les marges et les marches.

A l'approche d'un nouveau voyage transatlantique, une expérience toute particulière de 2003 mérite sans doute quelques mots ici.

Voiture immatriculée dans la Belle Province Je me souviens - Québec, direction les Etats Unis entre lac Erié et Ontario. L'ambiance entre les Etats Unis et la France n'est pas bonne. Le Président Bush incrimine le gouvernement français pour son non engagement en Irak à longueur de médias. Des chicayas de la part des autorités d'immigration à la frontière US sont à craindre : ce n'était pas rare dans l'ambiance de l'époque, plusieurs incidents avaient été rapportés.



La voiture s'arrête à la grande barrière autoroutière qui filtre le trafic entre les deux pays, mais hélas, en mordant largement sur la bande blanche. Un agent d'immigration sort de sa boite : Monsieur, aux Etats-Unis, nous avons l'habitude de nous arrêter au STOP, en américain évidemment. Bingo, ça commence bien. Arrêtez vous un peu plus loin à droite, entrez dans les locaux et attendez, on vous appellera. Mais donnez-moi votre passeport en attendant.

OOups ! Privé de passeport à la frontière d'un pays qui se considère en état de siège, c'est comme être tout nu dans un immense terrain vague sans pouvoir en sortir.

On gare, on entre, on attend dans une petite pièce glauque au mobilier rare et avachi, par ailleurs mobilisé par  toute l'Afrique : Mozambicains, Marocains, Guinéens... et même Allemands en vadrouille.



Une porte vitrée vers l'intérieur laisse voir trois officiers d'immigration en grand uniforme assis à leur bureau, occupés à consulter de volumineux listings informatiques, à pianoter sur leurs ordinateurs, sans aucun contact visuel avec les pauvres humains non-US coincés dans le sas d'accès. Une grande mention sérigraphiée sur la porte prévient : Attendez qu'on vous appelle pour entrer. OK, on va attendre qu'on appelle.

L'Allemagne est délivrée, puis le Maroc - un gars sympa, francophone évidemment, avec lequel on a pu tuer quelques minutes en échangeant ses impressions : compte tenu de son origine, il craignait d'être refoulé, tout simplement - puis la Guinée, et pour finir même le Mozambique, remplacés bien sûr au fur et à mesure par des homologues tout aussi lointains. Quelques quarts d'heures s'empilent. Inquiétude pour la France, que j'avais l'honneur de représenter dans ce cagibi ce jour-là.

Tendant le cou pour observer l'intérieur au delà de la porte vitrée, on observe un passeport européen stagnant au coin du bureau de l'officier manifestement le plus gradé, donc le chef, tronant au milieu des autres.

Re-OOuppps Que se passe-t-il ? Est-ce au discours de M de Villepin à l'ONU contre la guerre d'Irak que je vais devoir de honteusement faire demi-tour vers mes pénates provisoires des Laurentides, après tout bien plus hospitalières pour les Frenchies dans la période.

Toujours aucun contact visuel possible avec le patron de l'immigration locale. Prenant mon courage à deux mains, je passe la porte lentement, m'approche de son bureau à pas comptés en me courbant au moins autant que devant l'Empereur de Chine, balbutiant, tremblant, Excusez moi de m'excuser, j'ai peut être été appelé, mais peut-être je ne l'ai pas entendu. Gasp.


Pas de réaction immédiate du colosse. C'est costaud, un américain en grand uniforme. Après trois secondes d'éternité, toujours sans aucun contact visuel, il attrape ce qui était bien mon passeport au coin de son bureau, l'ouvre lentement, et commence à pianoter sur son ordinateur pour y entrer je suppose mes humbles coordonnées françaises.

Enfin une question sort de sa bouche, et enfin ses yeux - par définition suspicieux - se fixent dans les miens. En américain :
Monsieur, vous êtes bien né à Vitry-le-François, France ? 
- Oui, Monsieur, je suis bien né à Vitry le François, France.
- (Toujours en américain) Monsieur, me croiriez vous si je vous dis que moi-aussi, je suis né à Vitry-le-François ?
- (En pauvre américain pour moi) Non, Monsieur, je ne vous croirais pas, personne ici ne connaît Vitry-le-François, c'est une petite ville de 18 000 habitants dans l'est de la France.



Et notre chef  local de l'immigration de passer alors dans un français parfait : Monsieur, je suis né à Vitry-le-François dix-huit mois après vous !

 Éclat de rire général, Bienvenue aux Etats Unis d'Amérique, je vous présente à mes collègues, je vous offre le café... Ouf !

Mon interlocuteur était bien né dans la même ville que moi, à 6 182 km de là, d'un père GI et d'une mère française, parlant parfaitement le français, jusque dans les noms de tous les patelins alentours de mon petit coin de Champagne, donc certains ont des prononciations fort différentes de leur graphie. Nous avons causé du pays, échangé les adresses, et voilà.

Bien sûr tout ce qui précède est authentique. Comprenne qui pourra, mais hasard et raison ne jouent pas dans la même cour.

samedi 28 mai 2011

Mémoires d'Europe (1) : lettre à mes amis finlandais/kirjeen minun suomalaisia ​​ystäviä


Bien chers Amis finlandais,

Vous êtes les plus nordiques de mes amis : il était donc naturel de commencer ce cycle de Mémoires d'Europe par vous. Et il faut bien commencer quelque part.

Sans vouloir vous vexer, vous étiez très exotiques, car nous ne vous connaissions pas très bien avant que l'Union européenne ne nous rapproche tant et d'un seul coup. A l'ombre de l'ours soviétique qui a bien failli vous manger tout crus en 1945, vous vous teniez à carreau pour ne pas réveiller l'animal. Même rhumatisant, il pouvait encore faire beaucoup de mal, quand on était à portée immédiate de sa griffe. Jusqu'à faire de la Finlandisation un concept en soi. Il faut dire que tous les siècles passés d'hégémonie suédoise ou russe alternativement vous avaient déjà donné une rude expérience de la domination culturelle.

Street art à Helsinki

Cette situation frontalière extrême - politiquement et géographiquement - vous a sans aucun doute donné ce sens de l'humour grinçant, dérisoire et désabusé dont vous étiez les maîtres et qui nous rapprochait beaucoup, car vos voisins scandinaves étaient nettement moins marrants. 

En matière de relations internationales, l'humour est essentiel et pouvoir le manier ensemble est crucial, puisqu'il met à distance nos cultures respectives et crée de ce fait un champ de communication possible à investir ensemble. On pourra se souvenir de longues plaisanteries sur l'art d'occuper les longues, longues, longues, et si sombres journées d'hiver de Laponie finlandaise. Lumineux pays du Père Noël quelques jours de décembre, les autres jours d'hiver y sont glacés par le froid et la nuit polaire.

Curieusement, votre étrange langue n'était pas un obstacle car l'anglais et la liberté du ton étaient suffisants. Elle est dite finno-ougrienne ou ouralienne. Même le polyglotte européen n'arrive à y capter que très peu de sens, puisque ses racines, qu'elle partage de manière très lointaine avec celles du Hongrois, n'ont rien à voir ni avec les langues slaves, ni avec les langues germaniques ni encore moins avec les langues latines. Tout comme notre langue basque.

Vous aviez aussi la santé. Oh là là ! Dans nos stages et séminaires internationaux, toutes les journées de travail se prolongeaient avec vous par de longues soirées interminables et souvent... bien arrosées, mais c'est une autre histoire. Normal, quand on habite autant au Nord, il faut savoir vivre la nuit, sinon, on reste au lit 20 heures sur 24 six mois dans l'année. Mais, Chapeau, cela ne vous empêchait pas, dès qu'il fallait se lever le lendemain, d'investir joyeusement les salles de bain et d'être impeccablement dispos aussi tôt qu'il le fallait pour le travail.

J'ai aimé aller vous retrouver dans votre beau pays naturel pour lequel très peu de Français avaient la moindre considération : 5 millions d'habitants, pour la populeuse et glorieuse France, cela compte à peine. Mais on y vivait bien, paisiblement et solidairement. D'ailleurs dans certaines enquêtes, il paraît que vous êtes le deuxième peuple le plus heureux du Monde, carrément.

Bon XXI° siècle à vous, l'Euro en plus. Et l'on terminera par un des hélas rares mots mémorisés de votre langue suite à tant de rencontres, mais qui n'est pas utilisé ici que pour la forme : kiitos






Bande annonce proprement lunaire
 de l'initiative finlandaise  http://www.ironsky.net/
à voir absolument : chef d'oeuvre d'humour grinçant très noir 
et très décalé

samedi 5 mars 2011

Bouclage de la sélection 2010



Ouf, ce fut une très riche année photographique, longue et difficile à boucler, mais voilà qui est fait ce jour.

Du Rhône à la Vistule, de Hannoversch Münden à Athènes, de Côte d'Azur à Atlantique en passant par une grande réconciliation avec la Capitale, plus quelques très beaux endroits des bords de Seine, de Marne, d'Oise, d'Aisne, de Meuse ou de Moselle... Belle année en images que 2010.